Fermeture du blog
Les volets se ferment
Mais je reste là...
Le 22 mars au Zenith de Montpellier
JE VAIS RETOURNER VOIR BENABAR!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J'imagine que tout le monde s'est déjà posé cette question... Si je n'étais plus là, est ce que ça changerait quelque chose? Non pas que je sois dans une phase dépressive, c'est juste que je me pose plusieurs questions en moment, pas frorcément de cet ordre...
Je me demande qui serait à mon enterrement, qui pleurerait, qui parlerait de moi, quelles chansons on passerait...
Et puis, dans la vie de tous jours aussi... Est ce que les gens m'oublieront? Est ce que certains penseront à moi de temps en temps... Qu'est ce que ça changera vraiment si je n'étais plus là...
Dans ma classe, ça serait quelqu'un en moins pour le concours... Pour ma famille, la bonne poire qui ne serait plus là pour tout prendre sur son dos, pour mes amis je ne sais pas...
Je sais bien que les gens seraient sûrement triste, mais pourtant, le monde tournera toujours, la vie continuera, et les gens oublieront peu à peu leur peine et continueront leur vie... Bref, rien n'aura réelement changer. Ce n'est pas une complainte, ni même une envie de mourir.
Voila, Internet remarche enfin!!!! Peu de nouvelles pour le moment car beaucoup de boulot, mais je suis toujours en vie!!!! ( Même si je suis morte de fatigue ).
Niveau étude ( bah oui je parle que de ça en ce moment étant donné que je ne fais rien d'autres que vu la tonne de travail à faire) ben ça ne ressemble pas trop à ce que je pensais... L'ambiance n'est pas géniale, certaines personne m'insupportant pas mal et c'est réciproque... Ici c'est oeil pour oeil, dents pour dents pour certaines... Alors pour une pacifiste comme moi, dur dur de vivre dans une ambiance comme ça!!! Ne parlons pas des petites réflexions, comme lorsque j'ai demané à Mademoiselle M. une indication par rapport à un mot que je ne connaissais pas ( un nom d'entreprise informatique) et que cette gentille demoiselle ( ironie bien sur) m'a regardé de haut a levé les yeux au ciel et m'a répondu " Mais tu connais pas????!!!" l'air outré!! Non mam'zelle je connais pas!!! Mais moi je connais le respect!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Enfin bref, c'est pas aussi rose que ce que je l'imaginais.... Encore une idéaliste qui tombe de son nuage!!!!!!!
Pour Las Blondas: Je rentre Vendredi soir, si vous voulez qu'on se fasse un truc dans le week end ( bien que j'ai énormément de boulot)....
ça y est, les cours ont repris ce matin, après avoir eu 1jour et demi de pause à cause des inondations.... les cours sont géniaux, j'ai fait pleins de superbes rencontres!! Par contre j'ai pas mal de boulot alors je ne pas peux aller sur le net aussi souvent qu'avant.
Petite news: En novembre, avec ma classe, nous partons à Cambridge pour rencontrer des hommes politiques ( maire, députés...) qui nous parleront du commerce équitable!!!! C'est ENORME!!! En plus de ça, nous allons visiter la ville et aller au théatre... Je pense avoir vraiment fait un bon chois en partant en prépa sciences po... C'est génial, je n'a jamais autant aimé les cours!!!!!!!!!!
Le fait de vivre seule, sans parents,c'est extraordinaire!!!! Quelle bonne leçon d'indépendance!!!!! En plus je suis en citée universitaire alors mes voisines sont mes amies de cours, alors nous sortons tous les soirs ensembles, et nous bossons ensemble... Bref, l'ambiance est géniale, je me régale!!!
Voila pour ma petite vie...
Las Blondas, je rentre Vendredi après midi alors si vous voulez toujours de moi....
Ça y est, ce matin, de 8h à 9h, c'était ma pré-rentrée...A cette occasion j'ai pu voir ma classe, nous sommes 34 ( c'est énorme pour une prépa!!!). Après m'être présentée à plusieurs personnes ( bah oui,faut bien que quelqu'un fasse le premier pas!), je trouve les gens plutôt sympas ( même si ce n'est qu'une approche superficielle).
Par contre, l'emploi du temps n'est pas top....
Lundi: Matin: Pas cours
Après-midi:14-16h: Espagnol
16-17h: Géographie
17-19h: Étude des Institutions
Mardi: 8h-11h: Économie
11h-12h: Étude des Institutions
13-h14h: Économie
14-16h: Sport (facultatif)
16h-17h: Géographie
Mercredi: 9h-11h: Anglais
11h-13h: Histoire
14h-17h: Culture Générale
Jeudi: 8h-9h: Anglais
9h-10h: Espagnol
10h-11h: Anglais
11h-12h: Espagnol
13h-15h: Culture Générale
15h-17h: Histoire
17h-18h: Géographie
Vendredi: 10h-12h: Histoire
13h17h: Devoir sur table
En plus, toutes les semaines nous avons un DNS ( Devoir Non surveillé) à rendre... sympas!
Enfin, j'attends de voir les profs et de voir l'ambiance pour faire un commentaire, mais pour le moment, c'est plutô sympas, surtout que je ne suis plus seule...
Né dans la banlieue sud de Paris, Bénabar (Barnabé en verlan), est d’abord attiré par les clowns et le cirque. Dès l’âge de huit ans, il taquine la trompette – "surtout, je crois, pour le côté visuel et très sonore"... Prémonitoire presque : après son bac et six mois dans une "high school" américaine pour peaufiner son anglais, le jeune homme vire vers l’image, il devient apprenti-photographe et technicien de cinéma dans le sillage d’une partie de sa famille.
Régisseur-stagiaire assistant, il réalise son premier court métrage à vingt ans. En une dizaine d’années, il en signera trois, dont José Jeannette qui décrochera de nombreux prix. Mais le cinéma ne lui convient pas non plus, et il décide de s’arrêter : "Pour le troisième court métrage, cela s’est mal passé avec la production. Après, je suis parti dans l’écriture d’un long métrage qui a pris beaucoup de temps ; dans le cinéma, lorsque l’on commence à avoir des ambitions, on rencontre des problèmes d’argent colossaux."
Pour un copain en quête de paroles, il écrit ses premières chansons. A vingt-sept ans, il trouve sa voie, attaque en duo dans des petits lieux et bars parisiens, rencontre des musiciens et monte le groupe Bénabar & associés en 1996. Quelque soixante-dix concerts plus tard, un album sort, La Petite Monnaie où il en découd vigoureusement avec la société : "Ce premier album, c’était peut-être un passage obligé. J’étais très militant et définitif sur le fait d’avoir en disque ce qu’on faisait sur scène. Je ne voulais pas traiter la voix, ni le son, ce qui était évidemment une erreur."
Trois ans plus tard, le second CD, éponyme cette fois constitue un des régals discographiques de l’automne. Son coup de pinceau-caméra s’est affiné, l’humour tendre fait mouche, la vie passe à tire d’elle. Il raconte : "On a beaucoup tourné pendant les deux ans qui ont suivi le premier CD. Après, il s’est produit une certaine remise en question et j’ai commencé à essayer d’ouvrir les paroles. J’ai peut-être aussi un peu mûri entre-temps."
Auteur de ses textes, compositeur d’une partie de ses musiques, Bénabar a confié la direction artistique à Fabrice Ravel-Dupuis (d’Artango) et la réalisation à Alain Cluzeau (de Paris Combo) dans un ensemble où les cuivres prédominent. En prélude à sa propre tournée de 2002, il a été invité en première partie d’Henri Salvador (celui-ci a craqué en entendant "Bon anniversaire" à la radio) et dans l’album d’hommage à Brassens, Les Oiseaux de passage, où il reprend "Embrasse-les tous".
"Pour connaître la valeur d'une année, interroge l'étudiant qui a raté son examen,
Pour connaître la valeur d'un mois, interroge la mère qui a mis au monde un enfant prématuré,
Pour connaîtra la valeur d'une semaine, interroge l'éditeur d'une revue hebdomadaire,
Pour connaître la valeur d'une heure, interroge l'amoureux qui attend son rendez-vous,
Pour connaître la valeur d'une minute, interroge l'homme qui vient de rater son bus,
Pour connaître la valeur d'une seconde, interroge celui qui a perdu un être cher dans un accident de voiture.
Pour connaître la valeur d'un millième de seconde, interroge le médaillé d'argent d'une finale olympique."
Bernard Werber, l'Empire des Anges
Une fleur : Un coquelicot
Une couleur : le jaune
Un fruit : une melon d'espagne
Une saison : le printemps
Un animal : l'aigle
Un phénomène naturel : l'orage
Un acteur : Daniel Auteuil
Une actrice : Angélina Jolie (alalala!)
Un sport : l'aviron
Un chiffre : 5
Un pays : la Tanzanie
Une boisson : Orange pressée
Un mot : humanité
Un instrument de musique : un piano
Un paysage : le paradis
Une ville : San Fransisco
Un oiseau : un rouge gorge
Un saladier rempli de : bonne humeur
Un arbre : un arbre qui permettrait de nourir tous les gens pauvres!
Une chanson : In the arms of an angel
Un personnage historique : Martin Luther King
Un plat : une salade de fruit
Une maladie : la maladie d'amour!
Une glace : vanille-caramel-coco
Une partie du corps : les mains
Un film : Le pianiste
Une langue : le chinois
Une époque : l'epoque des hippies ;-)
Un légume : un chou fleur
Un poisson : un poisson rouge avec les grosses joues transparantes
Un prénom féminin : Elisabeth
Un prénom masculin : Arthur
Un mois : Décembre
Un jour : Samedi
Un art : la musique
Un des Quatre Elements : le vent
Une planète : Platon
Un tatouage : symbole chinois "Amour de l'Humanité"
Une pierre précieuse : celle qui couterait assez chers pour payer à manger aux plus pauvres
Un parfum : La clémentine
Un vice : la jalousie
Une qualité : l'altruisme
Un défaut : être folle
Un livre : La Reine des Pluies
Une année : 1968
Un métier : Missionaire
Un chanteur : Bénabar
Une chanteuse : Edith Piaf
Un monument : La Statue de la Liberté
Pris sur http://www.alalalala.canalblog.com/
Les bombes à sous-munitions (BASM) sont une catégorie de munitions destinée à « arroser » un large périmètre. Leur principe est simple : un gros conteneur (bombe, obus, missile, roquette), est rempli de bombelettes (les sous-munitions). Le conteneur s’ouvre et disperse les sous-munitions au dessus d’une zone, créant ainsi un tapis d’explosions pouvant couvrir plusieurs hectares !
Venez signer une pétition contre ces bombes! http://www.sousmunitions.org/petition_basm/je_signe.php
Tout le monde a déjà connu ce petit creux qui se situe dans le ventre, pour des occasions spéciales.. Phénomène inexpliqué qui ne fait ni mal, ni du bien.. mais qui serre les tripes. L'impression d'avoir un trou dans le ventre, une boule... Les causes peuvent être différentes...
cette petit boule au creux du ventre peut être dû au stress, au bonheur ou même à la peur. Alors comment expliquer ce que c'est? Dans le film "La citée des Anges", Nicolas Cage qui est un Ange et qui ne connaît pas le goût et le toucher demande à Meg Ryan de lui décrire ce qu'elle ressent en mangeant une poire, et elle arrive à le décrire de façon très détaillée. J'aimerais faire la même chose, mais je ne crois pas qu'il y ait de mots dans la langue française qui puissent décrire ce phénomène. cette sensation étrange est elle simplement psychologique ou véridique? Pourquoi apparaît elle?
Pour ma part, cette petit boule au fond de mon ventre est apparue à plusieurs reprises... La première fois que j'ai joué à action ou vérité, mon premier baiser... Mais aussi avant de monter sur scène pour danser ou pour jouer du piano, ou même pour passer mon BEPC, mon BAC ou mon permis... La premier entretient pour un emploi... Et puis la première fois que j'étais perdue la nuit en Écosse, ou la fois ou je suis allé voir mes résultats du bac, ou la fois où j'ai attendu la réponse de la monitrice d'auto école... Bref, cette boule vient et s'installe, sans raisons fixes...
Je pensais que cette petite entaille dans le ventre apparaissait quand on avait peur, quand on était stréssé ou amoureux... Mais ce n'est pas que ça. Elle vient aussi quand on heureux. Je m'en suis rendue compte aujourd'hui ce que c'était d'avoir le sourire au lèvre toute la journée et cette boule au ventre. Certes, cette sensation je l'ai déjà eu mais je n'y avais pas prété attention, mais aujourd'hui, je m'en rends compte.
Aujourd'hui j'ai emmené mes affaires dans mon studio rien qu'a moi, mon premier studio.. Un petit studio d'étudiante. j'ai fait le ménage à fond et j'ai commencé à le décorer.. Il y a encore du boulot mais ce n'est que du bonheur! Et depuis ce matin, depuis que j'ai frôler cette indépendance dont j'ai tellement besoin en ce moment, cette boule agréable ne me quitte plus.. ni mon sourire sur les lèvres que je ne saurais expliquer. Un sourire de bonheur et non de politesse ni de rire... Un sourire simple et joyeux... Quel pied!!!!
Les embouteillages
Sanseverino
On est un peu jaloux qu'ils arrivent avant nous
Mais on les laisse passer, dans les embouteillages
Quand les motards te font merci avec les pieds, merci avec les pieds
Ce ne sont pas des êtres humains, mais une espèce de martien-terrien
Ils ne connaissent pas la langue des mains
Il faut les voir foncer libres comme l'air
Heureux comme des goélands, ils ont l'air épanoui
Un casque sur la tête et à leurs mains des gants
Ils font tout sur leur moto mais la seule chose qu'ils ne pourront pas
C'est dormir en roulant sinon le drap s'envolera
Tu comprends
Dans les embouteillages, tu penses autant au temps qu'au temps
Où tu n'auras plus d'ongles et où tu te mangeras les dents
Les Harley à crédit, les Japonaises débridées
Passent entres les camions citernes et les 4L de pompiers
Les filles sont en voiture
Contrairement aux motards qui eux sont à moto
Bien qu'il y aient des filles à moto
Mais sous leurs cuirs,
On ne les voient pas bien, on ne voit pas leurs seins
Surtout que sous un casque, on peut pas deviner
Si c'est un vieux hippy, un vieux skinhead ou une pure beauté
Si par hasard, dans un embouteillage
Tu croises la femme de ta vie
Mais assis à côté d'elle, il y a déjà un petit mari barbu mais gentil
Remballe ton sourire de veau, tourne la tête pour ne pas avoir l'air idiot
Fait semblant de réparer ta radio, de redresser ton rétro
Remballe ton sourire de veau, tourne la tête pour ne pas avoir l'air idiot
Fait semblant de réparer ta radio, de redresser ton rétro
Dans les embouteillages, tu penses autant au temps qu'au temps
Où tu n'auras plus d'ongles et où tu te mangeras les dents
Les Harley à crédit, les Japonaises débridées
Passent entres les camions citernes et les 4L
Dans les embouteillages, tu penses autant au temps qu'au temps
Où tu n'auras plus d'ongles et où tu te mangeras les dents
Les Harley à crédit, les Japonaises débridées
Passent entres les camions citernes et les 4L de pompiers
Quand les filles se maquillent dans les rétroviseurs
Moi j'ai même pas peur qu'elles oublient de freiner
Les routiers, du haut de leurs cabines
Les traitent de femmes au volant
Mais en secret, il aimeraient bien les emmener
Amoureux des sirènes
Les ambulanciers sont les marins des départementales
Salauds de séducteurs
Ils ont une infirmière dans chaque hôpital
Ils collectionnent les filles, multiplient les aventures
Et leur spécialité c'est l'amour en voiture
Sais-tu qu'il y a des infirmiers qui soignent les blessés
En leurs mettant des disques et des cassettes
La musicothérapie au service de la fracture ouverte
Pour un lumbago, Nougaro ou bien Django
Une jambe cassée, AC/DC et c'est soigné
Dans les embouteillages, tu penses autant au temps qu'au temps
Où tu n'auras plus d'ongles et où tu te mangeras les dents
Les Harley à crédit, les Japonaises débridées
Passent entres les camions citernes et les 4L
Dans les embouteillages, tu penses autant au temps qu'au temps
Où tu n'auras plus d'ongles et où tu te mangeras les dents
Les Harley à crédit, les Japonaises débridées
Passent entres les camions citernes et les 4L de pompiers
Las Blondas, le nom de notre bande anti pouf lors de notre année de Terminal, nom trouvé par moi-même après que notre gentille professeur d'espagnol nous a traité de "Tontas!"....
Nos objectifs au long de l'année:
-Hué les poufs-salopes ( paris réussi à moultes reprises )
- Se déguiser chaque Vendredi avant les vacances ( Paris réussi: venir en costard cravate et avec des couettes ( j'suis al seule conne à avoir fait les couettes! merci las Blondas!), se déguiser en Punk pour Joul, en sapin de Noël, venir habillé comme pour un bal de promo....)
-Accoster un inconnu et lui faire la conversation histoire qu'ils croient qu'ils a oublié qui on était alors qu'il nous connaissait pas du tout. (Paris pas encore réussi)
-Accoster un bel étalon (moi) et lui dire qu'il me plait énormément ( ce qui était totalement vrai d'ailleurs!)contre un gâteau fait par Audrey (Pairs réussi)
Bon, Las Blondas, en Septembre, nous prenons toutes des voies différentes, Audrey se lance dans des étdues de droit, Sardine dans des études d'italien, Joul de musique et moi-même de Sciences Politiques. Pour ça, je déménage, alors on se verra sûrement moins souvent, mais, tout ce qu'on a vécut c'était énorme, et je sais pas comment j'aurais pu rester éveiller au cours de Philo avec Olivier sans vous, franchement!
Alors, c'est décidé, dans 5 ans, le 23 Décembre 2010 à midi, on se retrouve devant Champo, toutes les 4 et on va se faire une tournée des bars en pleine aprèm, comme des fous!
Me suis amusée à coller des pseudo adjectifs ( parce que la plupart sont pas des adjectifs en faite) à vos pérnoms, je n'arrivais pas à dormir, et ça m'amusait.. alors, pour vous, Las Blondas, voila ce que ça donne!
A comme Adorable
U comme "ulalala comme elle est bavarde"
D "comme "définitivement bavarde"
R comme "Rigolote
E comme "Époustouflante"
Y comme "y'en a pas deux comme elle!"
J comme "Jolie" ( bon ok, c'est pas super recherché mais bon...tant que ça reste vrai! )
U comme " U ben dis donc elle est sympa " (oui oui moi ça m'arrive souvent d'utiliser "U" au début de mes phrases....)
L comme "Las Blondas!" ( une fois qu'on est dans la bande de Las Blondas, c'est ancré en nous!)
I comme"irrésistible" ( n'est ce pas espèce de petit *** avec ta peau de l'ours!!!)
E comme " Effrayante" ( oui elle aime bien crier et ça fait très peur à Audrey!)
T comme "Tête en l'air" preuve à l'appui, un texto qu'elle m'a envoyé le jour de mon anniversaire qu'elle avait oublié..."Apès m'être cogné la tête 40 fois contre les murs ( NTDL:ceci explique cela ) pour avoir pu zapé ça: Joyeux Anniversaire [...]
T comme "Très joyeuse" comme lorsqu'elle un jour, après avoir monté les 4 marches de la cafet, je ne sais pourquoi, elle a tapé des mains et à crier "Youpi"... oui, Juliette se contente des petits bonheur que lui procure la vie de tous les jours!
E comme "Étonnante!" comme lorsque qu'un jour, alors qu'elle revenait d'une visite chez le médecin, elle nous a dit que le médecin voulait l'ausculter et qu'elle avait répondu " sans la langue!" ( oui enfaîte elle venait de faire un lapsus très révélateur en nous le racontant!)
S comme "Sensible"
A comme " Apprécie l'alcool " ( à consommer avec modération bien évidement!)
N comme "Ne se laisse pas faire" ( bon ok c'est pas génial, mais j'ai eu du mal avec le "N"... hu!)
D comme "Délicate" (sauf quand elle boit à la fête de Mauguio ;-) )
R comme "Reine de la fête de Mauguio" (Elle et Mauguio, c'est toute une histoire!)
I comme "Intéressante"
N comme "Ni!" ( ha! J'ai réussi à la caser!)
E comme "Extraordinaire"
J'habite dans un duplex à Manhattan au coin de la 63ème
Jeune cadre diplômé, mes bureaux sont dans un gratte ciel,
Ce matin de très bonne humeur je me sens,
Nous sommes au mois de septembre, le 11 il me semble
En quittant la maison je laisse ma vie derrière moi,
Sans même le savoir j'embrasse ma fille pour la dernière fois,
Comme toujours je dis bonjour à la femme de ménage
En ouvrant mes bureaux du 152ème étage
Je suis le BOSS celui qui parle au bout de la table,
J'en suis tout fier, bref il est 8h00 et bientôt des poussières...
J'ai entendu un bruit impossible à décrire,
De la fumEn une seconde, une secousse, des cris, des appels au secours,
ée dans les yeux et dans le bide,
Triste choix, brûler dans le feu ou se jeter dans le vide,
Asphyxier, j'ai posé mes yeux dans le ciel,
Puis j'ai opté pour un vol plané du 152ème...
"L'apocalypse en dimension réelle..
Il y aura l'avant et l'après 11 septembre 2001,
Avec des différences entre les terroristes et ceux qui les protégent
En ce moment on entend au-dessus de Kaboul, les bombardiers B52 américains,
Ce sont surtout les enfants qui ont besoin de soins...
Les habitations ont été toutes détruites et les habitants survivent dans ces amas de ruines...
Je viens du pays des cagoules, là où les obus éclaboussent
J'habite Kaboul et j'ai 12 ans, appelez-moi Mouss,
Les familles sont parties, les soldats sont par terre
Le centre ville est en ruine, même l'école s'est faite bombarder
J'ai demandé à Dieu de m'épauler, ce que vous voyez à la télé
Moi je l'ai vu en ouvrant mes volets
Comme tous les jours, j'irai déblayer les ruines,
Comme chaque soir, les échanges de tirs vont éclairer mes nuits
J'ai 6 frères et soeurs, j'ai peur que la mort nous sépare,
C'est difficile, alors je prie pour que les missiles nous épargnent
Je rêve de l'université, d'un job à mi-temps,
Ici les gosses précoces deviennent adultes à 8 ans,
Victimes d'une guerre dont j'ignore les causes,
Des fois je fais du vélo, mais je slalome entre les corps
Mon père pense que le pays a tout à perdre
Espérant comme chacun que la guerre nous foute la paix
"La maison blanche, le président Bush n'y était pas
Notamment pour évoquer les possibles représailles des Etats-Unis, c'est ce que tout le monde attend maintenant
Le président américain a juré dès hier soir de venger
les milliers de victimes de ces terribles attentats, on écoute Georges Bush:
Notre armée partout dans le monde est en état d'alerte maximale"
Je m'appelle Georges, je réside à la maison blanche
J'ai fait la guerre sans motif, de temps en temps ma raison flanche,
Je suis dans le pétrin, j'ai l'ONU sur les épaules
Je me regarde en face dans la glace, même si je tue pour du pétrole
En vérité j'ai la haine, je veux la tête à Ben Laden
Je suis fier, je mens quand je dis que j'aime la paix,
Dans les livres d'histoire, j'aurai laissé mon nom,
Je suis le président Cow-boy je déclare la guerre plus vite que mon ombre
Je fais croire à mon peuple que les barbus veulent frapper l'Amérique
Pour être sûr de taper John Kerry,
Je suis le shérif du monde, le chef, le justicier, le commissaire
J'ai un caniche qui s'appelle Tony Blair
Je tue des condamnés par injection à la piquouse
Partout où je passe on me déroule un tapis rouge
Je mérite le prix Nobel des belles promesses,
Je suis en tort mais je m'endors sans problème
Angélique
Les Ogres de Barback
Moi, ça ne m’a jamais attiré, les filles en robe à cœur
Aux p’tites jupes à fleurs bien serrées, aux motifs de toutes les couleurs
Celles qu’ont des silhouettes de jaguar, un peu starlettes, un peu princesses
Une longue descente collant léopard et qui s’font refaire les fesses
Moi c’qui m’a toujours plu, c’est les filles en jogging sans couleur
Qui ont c’que vous app’lez un gros cul, et cette légère odeur de sueur !
Je fantasmais sur la tenue d’une Angélique, femme de ménage au resto-u
Qui me séduisait de ses grands yeux verts tout en passant la serpillière
Si je lui dédie cette chanson, c’est que je n’comprends pas très bien
Pourquoi c’que vous appelez un canon, j’le considère comme un boudin
J’espère que ma p’tite Angélique ne s’ennuiera jamais à mon bras
Qu’elle n’aimera jamais la grande musique, j’espère qu’ce p’tit air lui ira !
Moi, je me suis toujours agacé des grandes soirées parisiennes
La culture avec un faux « c », et les stars académiciennes
Les avis sur tout, les grands discours, les analyses philosophiques
Ceux qui décortiquent l’amour, qui ne connaissent pas Angélique
Angélique a quelque chose d’un ange que je ne saurais vous expliquer
Cette vulgarité qui dérange sur ces formes bien prononcées
Je fantasme sur la tenue d’une magnifique femme de ménage au resto-u
Qui m’excitait de ses grands yeux verts et demandait : « Qu’est-ce que j’vous sers ? »
Aussi je lui écris cette chanson et moi-même, je n’sais pas très bien
Si elle lui fera l’effet d’un canon ou celui d’une vieille peau d'boudin
Faites que ma p’tite Angélique ne s’ennuie jamais à mon bras
Qu’elle n’aime jamais la grande musique, j’espère qu’ce p’tit air lui ira !
Moi, c’que j’n’ai jamais pu apprendre, c’est les grandes leçons de grammaire
Toutes ces règles difficiles à comprendre qui vous font dire des phrases de travers
Les terminaisons jamais pareilles, qu’elles soient « pluriel » ou « singulier »
Moi qui n’ai connu qu’un soleil, celui qu’Angélique fait briller
Moi c’qui m’a toujours plu, c’est les phrases simples et jolies
« Mademoiselle, je me suis aperçu que vous êtes l’amour de ma vie ! »
Je fantasme sur la tenue d’une Angélique, femme de ménage au resto-u
Qui m’avalait de ses grands yeux verts entre le fromage et l’dessert
Aussi je t’écris cette chanson et je crois qu’il serait fort bien
Qu’on se la termine en canon pour ne pas la finir en eau d’boudin
Et j’ai fait avec ma p’tite Angélique, j’ai fait tant de choses à son bras sans jamais faire de grande musique, j'ai pu finir ce p'tit air-là..
Suite à une discussion avec Olivier sur "Paris-Plage" j'ai décidé de donner mon avis, qui n'intéresse sûrement pas grand monde, mais m'en fiche, je dis ce que je pense!
Je trouve ça anormal de faire une plage dans une ville au centre de la France, Paris a assez d'avantages comme ça! Et puis, en hiver, on fait même des pistes de Ski! C'est abérant! Créer une plage artificielle dans une capitale culturelle, dépenser pleins d'argent pour que des gens se mettent sur des transats et pour qu'ils fassent "comme si" ils étaient au bord de la mer! Et pourquoi pour un désert au Pôle Nord?!!!! C'est vrai, ce n'est pas normal! OK, ça attire des touristes, ça fait gagner de l'argent à Paris, ça fait plaisir à gens qui n'ont pas assez de moyens pour partir à la plage... mais il est quand même question de dénaturalisation d'une ville!!!! d'accord, les gens sont heureux, les oiseaux chantent, et il y a même des vaporisateurs d'eau pour être au frais... Mais Paris, Madame la Capitale n'est pas une ville littorale. Non mais! En plus, l'état dépense de l'argent, alors que cet argent pourrait aller vers des organisations sociales, ou des pays étrangers qui en ont besoin. Vous me direz que Paris fait des bénéfices, mais Paris est roche déjà, elle fait déjà pleins de bénéfice!!!!! Bref, je comprends que certains apprécient cette "plage" totalement artificielle, mais moi, je trouve ça dommage!!!!
Voici Audrey sur la plage ( une vraie de vraie) en train de pique niquer!
Raphaël qui s'apprête à aller se baigner dans la mer... la vraie! ;-)
Dans le cadre de mes études en sciences politiques, j'ai été emmené à lire un roman bouleversant, magnifique,touchant, vrai et très émouvant! La rage au coeur d'Ingrid Betancourt raconte le chemin de cette fabuleuse femme qui a laissé une vie bien rangée, bien ordonnée dans un pays démocratique et serein pour se diriger vers la Colombie, pays de son enfance. Elle va alors lutter contre la corruption des partis et des hommes politique. Elle va dénoncer les gens du pouvoir, va prouver les relations entre le président Samper et la famille Rodriguez, de dangereux narcotrafiquants.
Ingrid Bétancourt est née en 1961 et grandit entre Paris et Bogota (Colombie). Elle étudie en France où son père, Gabriel Bétancourt, ancien ministre de l'Education Nationale, est ambassadeur de Colombie. Durant toute son enfance, Ingrid est nourrie des discours de ses parents et de leurs amis, comme Pablo Neruda, Gabriel Garcia Marquez ou Fernando Botero. Après l'obtention du diplôme de l'institut d'Études Politiques de Paris, Ingrid épouse un français et donne naissance à deux enfants, Mélanie et Lorenzo. En 1990 ne supportant plus de voir son pays partir à la dérive, elle décide de quitter les États Unis et le confort d'une vie de famille et rentre en Colombie.
Pendant deux ans, Ingrid travaille au ministère des Finances,puis au ministère du Commerce extérieur; là elle est directement confrontée à l'incompétence des dirigeants, au népotisme et à la corruption qui règnent dans son pays. A 32 ans, Ingrid décide de se lancer en politique et de marcher sur les traces de Luis Carlos Galan, qui a été fait assassiné en 1989. Seule, inconnue des électeurs, elle multiplie les discours avec la conviction que le peule soutiendra son combat contre la corruption. En 1994, Ingrid Betancourt est élue députée. Elle doit alors affronter les faux procès, les menaces de mort contre ses enfants, les tentatives d'assassinat. En 1998 son courage et sa ténacité sont récompensés: Ingrid Betancourt est élue sénateur avec un score dépassant toutes ses espérances.
Plus qu'un témoignage, ce livre est aussi une autobiographie. Ainsi, nous apprenons comment Madame Betancourt est élue députée en 1994 grâce à sa campagne symbolisée par des préservatifs pour dire "non" à la corruption, comment elle est arrivée au Sénat en créant le parti "Oxygène" grâce à son mari Juan Carlos, comment elle a été trahi par Pastrana alors qu'elle l'a aidé à accéder à la présidence...
Elle explique comment on l'a traîné dans la boue pour la mettre de côté, comment elle a fait la grève de la faim pour refuser que des gens corrompu jugent le Président, comme elle a mis sa vie de famille de côté pour aider les Colombiens.
Si vous voulez en savoir plus @ http://www.ingridbetancourt.com/